"Véronique Goël poursuit dans ce film une recherche très personnelle sur le fragment et le rythme, le plan fixe et le travelling. Coupures de journaux décrivant l'horreur absolue de la barbarie pratiquée dans certains coins du monde, lettres personnelles lues en voix off et images de villes (proposant dans un rapport fascinant et diabolique un modèle de la ville contemporaine), confèrent à ce film une gravité et un poids émotionnel évident. Une mémoire à vif contre un monde qui institutionnalise l'oubli."
Marc Egleret (Source : site internet de l'artiste, lien externe, consulté le 18 novembre 2015).