.tbox {position:absolute; display:none; padding:14px 17px; z-index:900} .tinner {padding:15px; -moz-border-radius:2px; border-radius:2px; background:#fff url(images/preload.gif) no-repeat 50% 50%; border-right:1px solid #333; border-bottom:1px solid #333} .tmask {position:absolute; display:none; top:0px; left:0px; height:100%; width:100%; background:#000; z-index:800} .tclose {position:absolute; top:0px; right:0px; width:30px; height:30px; cursor:pointer; background:url(images/close.png) no-repeat} .tclose:hover {background-position:0 -30px} #error {background:#ff6969; color:#fff; text-shadow:1px 1px #cf5454; border-right:1px solid #000; border-bottom:1px solid #000; padding:0} #error .tcontent {padding:10px 14px 11px; border:1px solid #ffb8b8; -moz-border-radius:5px; border-radius:5px} #success {background:#2ea125; color:#fff; text-shadow:1px 1px #1b6116; border-right:1px solid #000; border-bottom:1px solid #000; padding:10; -moz-border-radius:0; border-radius:0} #bluemask {background:#666666} #frameless {margin:10px} #frameless .tclose {left:6px}
Statuette féminine d’ancêtre biteki ou mikuya
Congo, vallée du Niari, district de Mouyondzi
Beembe (Bembe). Fin du 19e ou début du 20e siècle
Bois, éclats de faïence. H 19 cm
Don du peintre et collectionneur Émile Chambon en 1981
MEG Inv. ETHAF 044411
Chez les Beembe (Congo), les statuettes des cultes d’ancêtres biteki ou mikuya représentent des membres disparus du lignage. Comme les ancêtres quelles incarnent, ces statuettes sont embellies au niveau du ventre et du dos par de nombreuses scarifications formant des motifs géométriques complexes sur la peau. Il semblerait que les statuettes aient souvent été enrobées d’un morceau d’étoffe, des aisselles aux pieds, ce qui explique la présence d’une patine rougeâtre et noire sur la tête et les bras, alors que le reste du corps scarifié a conservé la couleur originelle du bois. Les scarifications étaient donc cachées après la finition de la sculpture.
La faïence blanche incrustée dans les orbites de cette figurine beembe évoque les yeux révulsés dans un état de transe de possession.
Boris Wastiau