ETHOC 041731

sculpture à planter

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041731
Sculpture à planter
Nouvelle-Calédonie
Kanak. Début du 20e siècle
Bois, pigments. H 175 cm
Don du peintre Émile Chambon en 1981
MEG Inv. ETHOC 041731

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Toujours anthropomorphes (masculines ou parfois féminines), les sculptures à planter étaient installées dans les espaces d’accès aux Grandes Cases et elles accompagnaient les offrandes lors des cérémonies.
Si la plupart des personnages portent des attributs du monde kanak traditionnel, d’autres présentent des éléments de la culture française, comme c’est le cas de celui-ci qui porte un casque colonial.

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Registres d'inventaires historiques

Les feuillets numérisés des registres d'inventaires historiques sont soumise à un copyright.
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Inventaire original MEG. Registres tapuscrits, volumes 19 à 59
Registres_tapuscrits/41731.pdf

 

Les Kanak, premiers habitants de Nouvelle-Calédonie

Un matin de septembre 1774, l’explorateur James Cook découvrit à l’horizon un archipel qu’il nomma Nouvelle-Calédonie, car il évoquait pour lui le paysage de la Calédonie, ancien nom de l’Écosse, son pays d’origine.

Cependant, depuis plus de 3000 ans, ces îles étaient habitées par les Kanak. Malgré la diversité des fonctionnements sociaux et des styles artistiques, ceux-ci ont en commun une étroite relation à la terre et aux ancêtres.

Bibliographie

  • Boulay, Roger (dir.). 1990. De jade et de nacre. Paris: Réunion des musées nationaux, 155-160
  • Kasarhérou, Emmanuel et Roger Boulay (dir.). 2013. Kanak. L'art est une parole. Paris: Musée du quai Branly, Actes Sud

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